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Dick Annegarn revisite en version symphonique 12 chansons de son répertoire, qui portent des noms de villes.

Ce 13ème album studio est réalisé conjointement par Nicola et Oli de Sat. Pendant plusieurs mois, les pièces du puzzle de ce disque, le plus mystérieux et le plus envoûtant d'Indochine, s'assemblent. Quelques invités prestigieux participent à cet opus en tant que co-auteurs, interprètes ou co-compositeurs. Le mixage s'est fait à Los Angeles dans le studio personnel de Mick Guzauski (Daft Punk, Pharrell Williams, Jamiroquai, Talking Heads) et le mastering a été fait par Chab (Daft Punk, Air, Kavinsky, Woodkid... ). Erwin Olaf, un des plus grands photographes contemporains, a réalisé la pochette.

Année 1802. Réalisant qu'il est devenu irréversiblement sourd, Beethoven traverse une crise personnelle d'une intensité sans précédent. Songeant au suicide dans son refuge d'Heiligenstadt il décide cependant d'affronter son destin et les oeuvres qu'il livre en cette année cruciale reflètent cette évolution qui est un chemin vers l'espérance ; c'est ce que démontre avec brio Jonas Vitaud à travers un choix d'oeuvres mettant en perspective le désespoir sousjacent de la Sonate "La tempête", l'apaisement des opus 33 et 34 et l'optimisme flamboyant des Variations "Eroica".

Têtes Raides est vraiment un groupe à part. Trois décennies à servir une certaine chanson française, vivante, insolente, concernée et engagée, avec cet esprit punk, aux textes parfois sans concession, parfois teintés d'humour noir, toujours poétiques, plein d'émotions. Trente ans donc que Ginette est née sur le premier album de Têtes Raides, Not dead but bien raides, en 1989. Trente ans à nous offrir cette musique spéciale et chaleureuse de cabaret, entre rock alternatif, chanson réaliste et bal musette. Un groupe unique et générationnel. On retrouve les meilleurs titres du groupe dans ce 30 ans de Ginette qui nous fait voyager dans le temps.

Ce douzième album studio est son premier album pop rock en 13 ans. Cette oeuvre illustre toute la richesse musicale de la palette de styles explorés par Sting au fil des années, de l'imaginaire féroce et aventurier du titre Petrol head au style plus folk et narratif de Pretty young soldier. Sur le premier single, I can't stop thinking about you, il montre une facette plus enlevée et dansante, témoignant de l'influence que sa musique continue d'exercer sur la pop actuelle.

Enregistré à Sydney, produit par Paul Mc Kercher, initialement édité en 1995, en format CD uniquement, A life full of farewells est le troisième album de The Apartments. Paru deux ans seulement après le mythique Drift cet opus feutré aux ballades mélancoliques consacre une nouvelle fois le talent d'écriture de Peter Milton Walsh. Plus d'un quart de siècle plus tard, ces compositions majestueuses, ces arrangements soyeux, cette pop délicate nous tapissent de nouvelles émotions. Ici les nuances sont subtiles et les démons du musicien semblent pour un temps délaissés, laissant place à une sérénité nouvelle. Album de la maturité A life full of farewells est une pièce maitresse de la discographie des australiens, pièce maitresse aujourd'hui réexhumée et éditée pour la première fois en format vinyle.

Enregistré en live en 1998, il faut se réjouir que cet album paraisse enfin au grand jour après quelques années d'un inexplicable purgatoire... Il n'en n'est que plus riche et précieux, dans la mesure où il est devenu un double hommage, à Ella bien sûr, mais également, au grand Tommy Flanagan, disparu en 2001, et qui fut le plus fidèle et le dernier collaborateur régulier de l'irrésistible "First Lady".

Michael Tilson Thomas et l'Orchestre Symphonique de San Francisco s'associent avec le compositeur vivant le plus joué aux Etats Unis, John Adams. Le projet est colossal et prévoit l'interprétation de deux oeuvres majeures, Absolute jest et Grand pianola music, déjà créées par le SFS des années 70 et 80. Absolute jet était une commande du SFS au compositeur, dirigée ici par Michael Tilson Thomas : il faut écouter les scherzos fougueux et plein d'esprit de l'oeuvre pour comprendre l'inspiration beethovenienne de John Adams. Grand pianola music est dirigé ici par le compositeur lui-même : oeuvre minimaliste en trois mouvements composée en 1982. On y retrouve des allusions évidentes mais pertinentes au concerto L'Empereur de Beethoven.

La première fois qu'on a entendu ALA.NI, il y a plus de quatre ans, c'était sur la vidéo confidentielle de la chanson Suddenly. Elle ressemblait à une chanteuse en noir et blanc, une silhouette à contre-jour, dont la voix s'élevait en tendres volutes. La Londonienne (d'origine caribéenne) ALA.NI était un rêve, devenu réalité. Depuis, elle a sorti des EP's et l'album You & I paru début 2016, fait tout un tas de concerts dans des pays et des environnements variés (de l'appartement au Château de Fontainebleau), montré qu'elle dansait aussi bien qu'elle chantait et qu'elle savait faire rire autant qu'émouvoir. Finalement, avec sa musique entre folk d'alcôve et comédie musicale miniature, ALA.NI était une artiste en couleurs vives, la chanteuse qui dansait sur l'arc-en-ciel. Acca est son second album. Acca c'est pour "a cappella" car ce 2e disque a été (entièrement) conçu et (largement) réalisé a cappella. Et pour l'inspiration : des amis, des histoires de coeur, des souvenirs, des fous rires, des voyages, l'appétit de vivre et le goût du risque. Un album corporel et vivant et un featuring avec le grand Iggy Pop.

Auteur-compositeur-guitariste-interprète né en 1973, Fred Deshayes, leader du groupe Soft puise son inspiration dans le riche vivier des rythmes traditionnels guadeloupéens tels que le gwoka. La musique de cet universitaire qui enseigne le Droit public en Guadeloupe se distingue par ses influences jazzy, africaines et brésiliennes à l'efficacité aussi imparable qu'addictive.

Ces deux projets ont comme noyau l'incontournable trio Aka Moon (Fabrizio Cassol, Stéphane Galland, Michel Hatzigeorgiou). Par son approche rafraîchissante du jazz et l'influence de styles musicaux ethniques, du funk et du rock, cet ensemble a élaboré un son très personnel. Il a collaboré à de nombreux projets avec des dizaines d'artistes de courants divers. Le projet Aka Balkan Moon s'inspire de la tradition tzigane de la région des Balkans. Aidé du violoniste Tcha Limberger et du pianiste italien Fabian Fiorini le trio s'est entouré de musiciens bulgares virtuoses. Le résultat est un mélange unique entre jazz contemporain et musiques populaires traditionnelles. Le projet AlefBa rassemble pour sa part douze artistes, venus pour moitié d'Europe et pour moitié de Syrie, d'Egypte et du Liban, afin de créer ce que l'on pourrait appeler une suite musicale et poétique en langues arabes.

Cette jeune chanteuse Néo-Zélandaise, signe ici un premier album éponyme sur le label Woo Me. Découverte par Anika Moa alors qu'elle chantonnait dans une rue de Lyttelton, l'artiste présente ici neuf chansons très largement influencées par les années 1960 et des artistes comme Vashti Bunyan, Linda Perhacs, Tom Waits ou Will Oldham.

Dans la mythologie ghanéenne, le "santrofi" est un oiseau aux couleurs vives et à la portée symbolique : selon la croyance, le tuer ou le garder chez soi porte malchance, tandis que le libérer préserve du mauvais oeil. C'est aussi un oiseau au chant puissant : le nom était donc tout trouvé pour Santrofi, formation d'Accra dévouée à la préservation et à la diffusion du patrimoine musical ghanéen, et en particulier, le highlife. Les huit membres du collectif ont tous appris auprès des grands noms du genre, nommément, Ebo Taylor, Gyedu-Blay Ambolley ou Pat Thomas. Parallèlement aux nouvelles tendances, plus électroniques et urbaines de la capitale, Santrofi cherchent à maintenir l'essence du highlife, joué intégralement en live et porteur de messages.

Signum Classics est fier d'annoncer un nouveau partenariat avec un label et des débuts d'enregistrement avec l'Irish National Opera, présentant l'enregistrement en première mondiale de l'opéra de Gerald Barry, Alice's Adventures Under Ground, basé sur le célèbre livre de Lewis Carroll. L'Irish National Opera est la compagnie d'opéra la plus récente et la plus entreprenante d'Irlande. Elle défend la créativité irlandaise dans son casting, le choix de ses équipes de création et son engagement dans la présentation de nouveaux opéras. La polyvalence stylistique, les projets et les collaborations d'André de Ridder le rendent très demandé par les BBC Proms, les festivals internationaux de Hollande, Sydney et Manchester, et des orchestres tels que le New York Philharmonic, les orchestres symphoniques de Chicago et de Melbourne, l'orchestre philharmonique de Hong Kong et l'Orchestre symphonique de la radio finlandaise, entre autres.

Il s'est fait connaitre en tant que producteur de hip-hop, notamment pour le rappeur New Yorkais Joey Bada